Accueil périscolaire
Le temps d’études surveillées est proposé aux enfants, en fin de journée et en dehors du temps scolaire pendant l’accueil périscolaire. Il leur permet de s’avancer en autonomie sur leurs leçons. Ce temps est encadré par des enseignants volontaires ou des agents d’animation de la Ville. Ces personnes, au regard de la nature des études, dites surveillées, et du nombre d’enfants encadrés, ne sont pas tenues à des obligations de résultats. Le travail effectué pendant le temps d’études surveillées ne dispense pas les parents d’un contrôle journalier.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]- Avant la classe : les lundis, mardis, mercredis, jeudis et vendredis matin à partir de 7h30,
- Après la classe : le mercredi midi de 11h45 (11h55 pour Jean-Zay et Aristide-Briand) jusqu’à 13h et les lundis, mardis, jeudis et vendredis soir de 16h30 jusqu’à 18h30.
L’étude
L’étude est un temps proposé aux enfants, en fin de journée et en dehors du temps scolaire, leur offrant la possibilité de s’avancer en autonomie sur leurs leçons. Ce temps est encadré par des enseignants volontaires ou des agents de la ville (ATSEM, animateurs). Ces personnes, au regard de la nature de l’étude, dite surveillée, et du nombre d’enfants encadrés, ne sont pas tenues à des obligations de résultats. Le travail effectué en étude ne dispense pas les parents d’un contrôle journalier.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Organisation : Le temps d’études surveillées est proposé tous les lundis, mardis, jeudis et vendredis. Seuls les vendredis qui précèdent les vacances scolaires, et les jours où le nombre de participants/intervenants n’est pas suffisant ne sont pas proposés. Durée : Le service sera mis en place à partir du lundi 16 septembre 2024- De 17h à 17h30 : études sans sortie de l’enfant
- De 17h30 à 18h : départ échelonné possible
Le saviez-vous ?
[/vc_column_text][vc_tta_accordion color= »chino » spacing= »5″ c_icon= »chevron » active_section= » » collapsible_all= »true »][vc_tta_section title= »Soutien scolaire » tab_id= »1692265348450-3790e1ea-6306″][vc_column_text]La Confédération Syndicale des Familles (CSF) et les centres socioculturels Pierre-Legendre et Henri-Normand proposent du soutien scolaire individualisé pour les élèves de primaire et du secondaire. Contactez ces structures pour en savoir plus. [/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section title= »Peut-on donner à un élève du primaire des devoirs à faire à la maison ? » tab_id= »1692265348462-c458d5b7-452f »][vc_column_text]À la sortie de l’école, le travail donné par les maîtres aux élèves se limite à un travail oral ou des leçons à apprendre. Ce que dit la loi. La circulaire du 29 décembre 1956 est sans ambiguïté : « aucun devoir écrit, soit obligatoire, soit facultatif, ne sera demandé aux élèves hors de la classe », en primaire. A l’époque, déjà, « l’intérêt éducatif limité » des devoirs écrits à la maison était pointé du doigt. L’esprit de ce texte est relayé sur de nombreux sites officiels : « il est interdit de donner à faire à des élèves un travail écrit à la maison », peut-on ainsi lire sur service-public.fr, qui rappelle que rien n’empêche, en revanche, un enseignant de donner un travail oral (lecture ou recherche par exemple) ou des leçons à apprendre à la maison. Un rappel que relaient régulièrement certaines académies, comme l’académie du Nord qui, en 2006, a diffusé auprès de ses inspecteurs un document à l’intitulé explicite : « Devoirs à la maison : 50 ans de travail au noir ». On pouvait notamment y trouver « 7 types d’arguments contre les devoirs à la maison ».[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section title= »Contrat local d’accompagnement à la scolarité (CLAS) » tab_id= »1692265550925-4ddb6aae-746b »][vc_column_text]Par ailleurs, les centres socioculturels interviennent sur de l’accompagnement plus personnalisé, contractualisé par le dispositif CLAS. La directrice du centre socioculturel pierre Legendre explique : L’Association socioculturelle Pierre Legendre propose de « L’accompagnement à la scolarité ». Cette action s’inscrit dans le dispositif CLAS (contrat local d’accompagnement à la scolarité) proposé par la Caisse d’allocation familiale. Le projet CLAS propose aux enfants et aux jeunes l’appui et les ressources complémentaires dont il a besoin pour s’épanouir et réussir à l’école.[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section title= »Rythmes de vie de l’enfant et apprentissage » tab_id= »1692265625112-52788d68-0740″][vc_column_text]Avec pour ambition la réussite de tous élèves, au fil des années l’Éducation Nationale a engagé de nombreuses réformes. Principalement à haute visée pédagogique, certaines d’entre-elles ont cependant agi sur l’organisation même de l’école. Durant la dernière décennie, la suppression de la classe le samedi matin, la semaine d’école sur neuf demi-journées, la création de temps d’activités périscolaires (TAP) ont nettement transformé la structuration du temps scolaire, par extension, ont influé sur les autres temps adjacents de l’enfant et sur l’organisation matérielle des familles. La mise en œuvre de ces réformes a été confiée aux municipalités avec toutes les limites qu’elles peuvent connaitre : moyens financiers, locaux adaptés, transports scolaires, personnels suffisants… dès lors, comment construire un environnement favorable aux apprentissages ? Question à François Testu Professeur Emérite de l’Université de Tours Président de l’Observatoire de Rythmes et des Temps de vie des enfants et des Jeunes (ORTEJ) Quelles priorités pour aménager les temps scolaires de l’enfant ? Il s’agit de proposer des emplois du temps journalier (c’est la priorité), hebdomadaire, annuel, adapté pour favoriser le développement harmonieux de l’activité intellectuelle et physique des élèves qui ne maîtrisent pas encore la tâche à exécuter, pour favoriser la réussite. L’aménagement du temps constitue alors, l’un des moyens de lutte contre l’échec scolaire. Aussi, les priorités pour aménager le temps scolaire sont-elles les suivantes :- Respecter la rythmicité journalière biologique et psychologique de l’enfant. C’est principalement dans la journée qu’est mise en évidence la rythmicité.
- Alléger le temps scolaire journalier, notamment pour les plus jeunes… Il est aberrant que des enfants de 4-5 ans soient autant présents à l’école que des jeunes de 10-11 ans ! Des structures « sas » doivent pouvoir accueillir les élèves avant et après la classe, structures où les activités non scolaires seraient encadrées par des animateurs qui interviendraient également à la pause de midi.
- Réserver les moments reconnus comme favorables à l’activité intellectuelle (milieu et fin de matinée et fin d’après-midi chez les élèves les plus âgés du cycle primaire) pour les apprentissages et les activités demandant le plus d’attention et d’effort cognitif.
- Occuper les moments reconnus comme moins favorables par des activités d’entretien, d’éveil, par des contenus plus ludiques, plus socialisants.
- Aménager le « creux » d’après-déjeuner.
- Proposer des vacances scolaires de 2 semaines (notamment en novembre et février, périodes de l’année reconnues comme difficiles à vivre) et des périodes de travail scolaire de 7 semaines au plus.
- Respecter le sommeil de l’enfant. Il est primordial que les enfants dorment leur compte.
- Éviter la semaine de 4 jours où l’on ne peut pas profiter de la libération du temps. Les résultats des recherches chronobiologiques et chronopsychologiques montrent que :
- la semaine de 4 jours ne respecte pas les rythmes journaliers de l’activité psychologique et physiologique de l’élève, mais surtout, elle génère une baisse de la vigilance, voire des comportements d’inadaptation dans et en dehors de l’école.
- La semaine de 4 jours sans une politique socioéducative périscolaire et extrascolaire d’accompagnement accentue et allonge, chez certains enfants, les effets perturbateurs du week-end qui se traduit par une désynchronisation des rythmes de vie des enfants, désynchronisation, source de fatigue, de mauvaise performances et de désintérêt.
- Prendre en compte les facteurs qui influent sur la rythmicité : l’âge et la maîtrise de l’exercice.
- Moduler les horaires et les durées de classe en fonction de l’âge.